Il y a encore quelques années de cela, il fallait la mise en place d’une logistique importante pour construire un bâtiment sportif. Entre l’acheminement des matériaux, la présence des engins de chantiers et la coordination des équipes, les chefs de chantier devaient gérer de nombreux facteurs pour pouvoir concrétiser un projet. Mais aujourd’hui, le bâtiment modulaire vient véritablement révolutionner le domaine de la construction.
Moins de main d’œuvre, donc davantage d’économies à la clé
La construction modulaire est l’atout indéniable pour économiser en matière de main d’œuvre. En effet, les modules sont construits en atelier et uniquement montés sur site. Par conséquent, pas besoin de maçon, de peintre, de plombier, etc. Les personnels sur le chantier sont réduits au strict minimum, ce qui permet au maître d’ouvrage d’économiser.
Une mise en œuvre rapide avec peu de risque d’erreur
Chaque élément constituant le module est conçu et découpé par ordinateur, ce qui élimine tout risque d’erreur. Une fois sur le chantier, tous les modules n’ont plus qu’à être assemblés pour ériger le bâtiment désiré. Grâce à des repères sur le site et sur les modules, chaque bloc est identifié et installé à la place qui lui revient. La démarche est simple et ressemble à s’y méprendre à un assemblage de LEGO.
Le choix du modulaire est un atout pour construire un bâtiment sportif dans les meilleurs délais et respecter ainsi le planning que l’on s’est fixé. En quelques jours seulement, il est possible d’ériger un bâtiment entièrement fonctionnel.
Moins de déchets sur le chantier
Un chantier génère toujours des déchets et leur traitement peut représenter une dépense importante. Mais contrairement à la construction conventionnelle, la construction modulaire réduit à sa plus petite unité la quantité de déchets.
Ce qui amoindrit considérablement les risques de pollutions tout autour du chantier. Par ailleurs, cela évite de devoir dépenser de l’argent en recourant aux services d’une entreprise spécialisée pour le nettoyage en fin de chantier.