Souvent, au moment où l’on fait sa demande de crédit immobilier, on écarte l’éventualité d’un défaut de payement de ses mensualités. Pourtant, pour de nombreuses raisons et souvent indépendamment de la volonté, il se peut que l’on ne puisse plus rembourser son prêt
Le comportement à adopter
Licenciement technique, non-reconduction de son contrat de travail, grosses dépenses financières imprévues… Nombreuses sont les raisons qui font qu’une personne ne peut plus honorer ses cotisations mensuelles passagèrement ou sur du long terme. Lorsque l’on est en face de cette situation, la première chose à faire et d’en informer son établissement bancaire, avant même que l’organisme prêteur ne constate les défauts de paiement. En effet, en adoptant cette démarche, la banque prendra en compte la bonne foi, mais surtout l’honnêteté de l’emprunteur. Ainsi, avec l’aide de votre gestionnaire de compte, vous pouvez trouver des solutions pour remédier à la situation avant d’envisager de recourir à la commission de surendettement.
Le choix de l’assurance
Un simulateur de prêt immobilier ne vous aidera pas seulement à connaitre le montant global de votre crédit, mais vous informe également sur votre taux d’endettement. C’est pourquoi il ne faut pas hésiter à en utiliser avant de choisir la banque chez qui l’on va faire sa demande de prêt. De ce fait, l’emprunteur peut également opter pour l’assurance de prêt immobilier qui correspond le plus à son cas. Deux grands choix se présentent alors : d’abord l’assurance perte d’emploi qui comme son nom l’indique couvre les risques d’impayés en cas de chômage. Attention cependant, car cette garantie ne peut être souscrite que par les salariés. Ensuite, il y a l’assurance décès invalidité, qui reste facultative.