Compte tenu de la durée des périodes de grand froid avec des températures négatives dans de nombreuses régions, les stocks de bois ont largement réduit jusqu’à devenir un produit difficilement accessible malgré la demande et ce, chez l’ensemble des fournisseurs.
Un besoin encore présent
Le problème est que l’hiver n’a pas encore dit son dernier mot et que les premières températures enregistrées pour le mois de février laissent penser qu’un temps froid et parfois neigeux va continuer à s’abattre sur le pays pour plusieurs semaines avant de laisser la place au printemps.
De ce fait, nombreux sont ceux qui ont déjà écoulé leur stock de bois et qui cherchent à se réapprovisionner pour finir la saison dans les meilleures conditions. Or, il est pratiquement impossible de trouver encore du bois sec immédiatement consommable dans la période où nous nous trouvons.
Les consommateurs multiplient alors les réservations dans le but de voir une de leur démarche récompensée mais il y a fort à parier qu’il faudra trouver une autre alternative comme l’électricité, certes plus chère mais qui a l’avantage d’être toujours disponible. Bien entendu, cette démarche est contraire à l’idée d’utiliser uniquement un produit naturel mais constitue la seule alternative face aux carences en bois.
Les avantages de la prévoyance
Quelques clients ont pris l’habitude de commander largement en avance soit au printemps pour ne pas subir ce genre de désagrément mais si l’anticipation du volume doit être faite, celui d’un hiver rude doit également être pris en compte. Seuls sont ceux qui prennent en compte cette donnée vont pouvoir avoir suffisamment de bois tout l’hiver.
En effet, certains consommateurs avisés commandent davantage de bois de chauffage à Paris que leurs besoins n’en demandent réellement car ils prennent en compte les fluctuations météorologiques qui peuvent faire basculer dans un sens ou dans l’autre la balance. Il faut donc être capable d’envisager tous les cas de figure pour être sûr de posséder suffisamment de produit.
De cette façon, si l’hiver a été clément, le bois non utilisé pourra aisément être réutilisé l’année suivante et sera d’autant plus performant qu’il aura connu un temps de séchage particulièrement long donc son pouvoir calorifique sera alors de meilleure qualité. Si l’hiver a été rude, le client par contre n’en a pas souffert dans son habitation car il a pu réaliser de belles flambées permettant de chauffer son intérieur de façon homogène car il a pu garder assez de bois pour prévenir cette situation.